Notre approche de l’hypnose Ericksonienne
Milton ERICKSON affirmait qu’il était nécessaire de connaître les choses de la vie pour avoir la possibilité d’être proche de chaque client. S’ouvrant à l’univers de l’ethnologie grâce à Grégory BATESON, Milton Erickson était passionné des états de transe hypnotique dans les ethnies primitives ce qui lui a donné de l’inspiration pour son approche de guérisseur et hypnothérapeute. Sous cette approche, et suivant Milton Erickson, on vous propose à Psynapse des formations hypnose tournée vers le monde, en harmonie avec ses changements, ses tendances et ses impacts culturels. Plus que jamais, l’hypnose ericksonienne est une hypnose adaptative, assimilée au monde d’aujourd’hui, une thérapie décidément brève. Se fondant sur l’étude du fonctionnement du processus neurologique humain, cette méthode révolutionnaire ne cherche pas à valider des théories psychanalytiques pré existantes. Cet état d’âme « PALO ALTO », engendré par une diversité de domaines scientifiques, par des découvertes et des essais constants est à PSYNAPSE une dimension professionnelle multi référentielle.
La maîtrise de techniques langaguières
En formation hypnose, en maîtrisant le Milton modèle, c’est-à-dire en maîtrisant les techniques de langage inspirées de celles de Milton Erickson, vous allez améliorer votre aptitude à communiquer. Ce langage, connu sous le nom de langage ericksonien ou communication ericksonienne, est le véritable langage de la communication, qui, associé avec le Métamodèle de la PNL, le modèle de Milton Erickson, forme les clés du langage du changement. Au cours de votre vie de tous les jours, vous distinguerez que vous avez un style de langage Milton modèle ou métamodèle, vous allez dors et déjà commencer à agrandir votre ouverture sur le monde en apprenant à manipuler ces processus inconscients. Vous allez découvrir les apports de Ernest Rossi, Steve de Shazer, la famille Andreas… Vous serez capable de voir le monde avec plus d’optimisme et plus d’envie d’expérimenter, Vous serez déjà sur les traces des grandes images de la thérapie à l’instar de Virginia Satir, Gregory Bateson, Stephen Gilligan, Jeffrey Zeig, Stephen Lankton, Janet Sasson Edgette, Roxanna Erickson Klein, jay Haley qui étaient des proches de Milton H. Erickson .
Origines de l’hypnose ericksonienne
Vers 1950, Gregorie Bateson, le cybernéticien et l’anthropologue, a pensé de s’associer avec Milton Erickson pour consultant sur le plan de l’étude des états d’hypnose et des recherches sur la communication à Bali. Durant le temps, Erickson a rencontré à travers sa route John Grinder et Richard Bandler, grâce à Bateson et Margaret Mead qui est son épouse. Ainsi Richard Bandler a nommé PNL ou Programmation Neuro-Linguistique la conception et l’élaboration de la boite à outil thérapeutique étudiée par Milton Erickson. Dans le temps, John Grindler linguiste et Richard Bandler dans l’universitaire en psychologie dans l’ensemble ont écrit plusieurs livres sur la précision de Milton Erickson, un génie du thérapeute. Erickson à 78 ans fut mort en Mars 1980, il laisse une grande fortune dans l’univers de la psychiatrie, de la psychologue, de l’hypnothérapie, de la pédagogie et de la communication.
L’hypnose Ericksonienne, contrairement au comportement de l’hypnose directe, est un type d’hypnose ou le spécialiste doit être en « position basse ». Il va dans l’écoute active et essaye de comprendre le patient et s’engage à « un langage d’influence ». C’est un travail de qualité puisque le thérapeute va devoir s’adapter son ton et son langage selon les attitudes du patient. C’est « la synchronisation au sujet ». Ce type d’hypnose s’engage aux respects du patient qui est unique pour chacun. Le thérapeute est un accompagnateur, et guide le patient à savoir qu’il détient les solutions pour ses propres problèmes. Leur but est d’aider le patient à les trouver. Le patient est en confiance du au technique du langage non autoritaire. Cette thérapie a été créée par Milton Erickson depuis les années 50. De nombreuses formations à l’hypnose sont fondées sur ses exploits.
L’hypnose conversationnelle.
C’est un type d’hypnose où le patient et la thérapeute se met en conversation à propos du problème. Cette conversation adapte un langage particulier qui va conduire le patient à un état mieux-être dans le but de découvrir des solutions adéquates. L’hypnose conversationnelle ne s’éloigne pas du type d’hypnose indirecte. Cette technique a été très développée par Milton Erickson.
La Neuro-Hypnose
La Neuro-Hypnose, c’est une thérapie qui s’établie fondamentalement sur des résultats rapides. C’est une technique où le patient reçoit des éléments dont il a besoin pour sa thérapie, par le thérapeute. Comme l’hypnose ericksonienne, le thérapeute doit suivre le rythme du patient à chaque situation. La séance peut se faire comme l’hypnose conversationnelle ou sous hypnose profonde. C’est un outil de changement, d’évolution et de communication. Cette transformation se base de la personnalité du patient.
L’auto-hypnose
C’est une technique qui conduit à une personne d’orienter seule dans un état hypnotique, sans l’appui d’un thérapeute. La personne sera autoritaire et peut chercher ses propres solutions pour améliorer sa vie. L’hypnose est décrite comme un état de conscience transformé.
L’hypnose spectacle
L’hypnose est utilisée aussi dans les spectacles comme divertissement. Ce type d’hypnose a contribué à la célébrité de la discipline et à sa diffusion. Cela est justifié depuis 1841, par James Braid qui a vu et constaté son intérêt pour les applications hypnotiques après avoir assisté une projection publique de Charles Lafontaine, un célèbre magnétiseur. Joseph Delboeuf, avec le magnétiseur Donato, applique l’hypnose de spectacle et ses expériences sur le public. Il suggère toute personne qu’elle a le droit d’utiliser l’hypnotisme dans un spectacle public comme dans une thérapie privée, et il défend l’idée de ce type d’hypnose. Actuellement, l’un des célèbres hypnotiseurs est un artiste canadien nommé Messmer, un renommé magnétiseur Franz-Anton Mesmer. L’Hypnose s’évolue progressivement depuis 18ème siècle jusqu’à maintenant du aux thérapeutes modernes.